Horaires flexibles et tardifs, travail durant les week-ends, stress pendant les coups de feu…. Travailler dans l’Horeca est une affaire de passionnés dont l’investissement en temps n’est pas forcément compensé par un salaire attractif. Si l’on y ajoute une période d’arrêt à cause d’une crise sanitaire et un climat d’incertitude, le secteur n’est plus attractif.

Après les périodes d’arrêt et de confinements, nombre d’employés ont quitté les salles de bistrot et les cuisines de restos pour des secteurs davantage à l’abri des difficultés économiques induites par les mesures Covid. Et qui offrent également un meilleur confort de vie. Le problème aujourd’hui, c’est que nombre d’entre eux ne veulent plus y revenir à l’heure où les établissements concernés espèrent refonctionner à plein régime.

Illustration au Labo4, le restaurant situé dans un ancien laboratoire de l’université au quai Van Beneden. Par manque de personnel, l’établissement doit reporter sa réouverture au mois de juillet. “Afin de compléter notre équipe, nous recherchons du personnel de salle, cuisine et plonge”, y précise-ton. Pour postuler, c’est par ici.


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