D’aucuns ont stigmatisé certains bars, notamment ceux du Carré où, hormis quelques vidéos transgressives de jeunes fêtards sans masques, les règles étaient en réalité relativement bien respectées. D’autant que les patrouilles de police y veillaient. Mais à l’heure où le secteur horeca est fermé, il reste encore quelques points problématiques à Liège.

Les bus
Le bourgmestre Willy Demeyer demande la réduction de la fréquentation maximale autorisée dans les transports en commun. Celle-ci est nécessaire, selon lui, pour ralentir la transmission du virus. De très nombreux usagers se plaignent du nombre important de personnes autorisées à monter dans les véhicules.

Les centres commerciaux Belle Ile et Médiacité
Bien que les distances et le port du masque y soient majoritairement respectés, les galeries drainent pas mal de monde les week-ends. Avec des sens de circulation facultatifs et quelques concentrations de personnes notamment autour des caisses.

La situation des maisons de repos

Durement touchées lors de la première vague, les Maisons de Repos et Maisons de Repos et de Soins doivent faire l’objet d’une vigilance accrue au vu de la dégradation de la situation sanitaire que ce soit en termes d’accès aux tests de dépistage pour le personnel et les résidents ou en renfort de personnel“, souligne le bourgmestre

Les rassemblements

Toute la Ville de Liège représente un point d’attention pour les patrouilles “Covid”, nous assure la police de Liège. Il reste que les policiers sont encore plus attentifs dans les lieux susceptibles de rassembler plus de monde comme les abords des lieux culturels, les manifestations autorisées, les entrées et sorties d’écoles,…

Les fêtes privées des jeunes
Ce n’est pas forcément dans les classes et auditoires qu’ont lieu les contaminations (la présence physique dans le supérieur a maintenant été limitée), mais bien dans les kots ou autres endroits où sont organisées des soirées ou des rassemblements qui agrègent parfois des dizaines de jeunes dans un même espace fermé.

Les écoles
La dispersion de grappes d’élèves dans d’autres classes lorsqu’un enseignant est absent (cas suspect Covid) est vue comme problématique par bon nombre de parents d’enfants d’écoles primaires communales -ou non. C’est pourtant toujours la procédure validée par la Fédération Wallonie-Bruxelles, nous confirme-t-on à l’échevinat de l’Enseignement.


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