“Si on n’a pas de perspective de réouverture au prochain conseil, je vous demande à vous les coiffeurs, tatoueurs, esthéticiennes, patrons de café et restaurants de rouvrir tous ensemble sans leur accord le premier février! MARE DE NOUS LAISSER FAIRE PAR NOS DIRIGEANTS QUI N’ONT QUE FAIRE DE NOTRE SITUATION DÉPLORABLE !!!! Qui osera suivre et partagera…avec les risques que ça incombe.
Nous sommes les tâches noir de cette société ,comme si tout cela était de notre faute! Alors que nous en sommes aussi les victimes! Je fais un appel à tous, soyons solidaires. Réveillons nous ! Au lieu de mourir en silence. Seul on n’y arrivera pas…”

C’est le message posté par un coiffeur de Grivegnée, Geoffrey Cap Jo Fiumefreddo, sur Facebook et qui en marre de la situation dans laquelle il se trouve. L’homme est passé dans l’émission “C’est pas tous les jours dimanche” pour s’expliquer: ” Ce n’est pas un appel à la révolution mais un appel à l’union, on se sent un peu pointés du doigt, (…), aujourd’hui on nous reprend en otage et on nous dit ‘si les gens ne sont pas gentils, on n’ira pas chez les coiffeurs'”.

Et de se demander: “Si les auto-écoles peuvent reprendre, pourquoi nous on ne pourrait pas dans un espace de 80 m2 avec tous les gestes barrière ?”


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