Entre 250.000 et 300.000 euros seront inscrits au budget 2023 en vue d’acquérir 6 radars fixes pour les rues jugées prioritaires. Mais à terme, c’est 12 voiries communales considérées comme particulièrement accidentogènes et où les vitesses ne sont pas respectées qui seront bientôt équipées d’un radar répressif. Cette décision, annoncée hier, se fonde sur une étude basée sur les chiffres de l’analyseur trafic de la police et de caméras Telraam utilisées comme appareils de comptage temporaires mais aussi sur la base de données des accidents.

Il faut savoir qu’avec 200.000 véhicules circulant chaque jour sur son territoire, notre ville présente la plus grande densité de trafic en Région wallonne et comptabilise aussi malheureusement le plus grand nombre de victimes de la route. (Cela représente près de 1000 personnes qui perdent la vie ou sont légèrement ou gravement blessées chaque année.)

Les artères concernées, où les habitants se plaignent de problèmes de vitesse, sont les rues Montagne Sainte-Walburge, de Campine, de Visé, de Gaillarmont, des Vennes, Julle Cralle, Avenue de l’Observatoire, Darchis, de la Révision, Mandeville, Hors-Château et Nicolas Spiroux. Certaines étant limitées à 30 km/h.

Le triple radar sur le #quai près de la Médiacité au chômage depuis son installation il y a 2 ans


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