La représentante du collectif Wallonie Hireca et patronne du Caffe Internazionale était l’invitée de l’émission C’est pas tous les jours dimanche sur RTL, hier. “C’était surtout une action symbolique, une manifestation. Les proportions que ça a pris ont dépassé nos espoirs“, a tout d’abord affirmé Valérie Migliore. Avant de reprendre: “On a vraiment beaucoup de restaurateurs qui étaient prêts à ouvrir ce jour-là. Mais il fait quand même avouer que le gouvernement nous a déployé l’artillerie lourde: les amendes, les répressions, la menace de suppression du droit passerelle qui est notre chômage à nous. On nous propose soit d’exprimer notre colère soit de nourrir notre famille. Ca devient un petit peu trop dur.

Selon elle, il y a encore des personnes qui veulent le faire mais, forcément, le mouvement s’est essoufflé face aux menaces de répression. Elle-même n’ouvrira pas sa terrasse le 1er mai et se contentera de proposer du take away en respectant les règles. Il semble effectivement que la plupart des restaurateurs et cafetiers ne s’y risqueront pas, risquant de perdre un peu plus de 3000€ de droit passerelle plus 750€ d’amende en cas de contrôle.


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